Lorsque la maladie frappe à la porte, c'est non seulement un boulversement du quotidien, mais également des difficultés auxquelles on ne pense pas toujours en premier lieu. D'abord la santé.
Pourtant, en ce qui concerne les projets de vie, ce qui pouvait sembler simple "avant", devient compliqué, insurmontable, impossible et de toute façon, revêt le manteau de l'injustice.
Alors comment y voir plus clair, lorsqu'il y a tant de particularités en fonction de la pathologie rencontrée, mais également de sa situation personnelle initiale?
Si jusqu'alors il existait déjà des textes et des grilles de références qui légiféraient en fonction d'une situation quels étaient les droits et les devoirs en termes d'information concernant sa situation médicale, encore fallait-il s'y retrouver.
Ce site vous permettra toutefois d'avoir accès à de nombreuses informations sur le sujet, et de vous appuyer dessus pour vous situer.
Pour autant, la plupart du temps la conclusion restait la suivante: "J'ai été malade, et aujourd'hui mes projets sont mis à mal à cause de celà, c'est la double peine..."
"Le droit à l’oubli est l’absence d’obligation de déclarer à l’assureur une pathologie."
S'il s'agissait déjà d'une grande avancé, les conditions en 2015 sont les suivantes :
Parce que l'association Rose-up, entre autres actions, défend les droits des patients atteints d'un cancer, cette avancée gigantesque qu'est le passage du droit à l'oubli de 10 à 5 ans est une des batailles qu'elle a brillamment gagnée.
Vous pourrez retrouver sur leur chaîne Youtube un ensemble de vidéos dont celle intitulée "emprunter après un cancer".
N'hésitez pas à les visionner!